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30 novembre 2011

En finir avec l'irresponsabilité pénale

par Thomas Joly Secrétaire Général du Parti de la France

A l'annonce de la probable irresponsabilité pénale de l'assassin franc-maçon Anders Breivik, médias et opinion publique tant norvégienne qu'internationale s'émeuvent de ce scandale. En particulier parce que ce taré est censé incarner l'abominable extrême-droite dans toute sa violence...

Même si les pays scandinaves sont en pointe dans la permissivité et le laxisme judiciaire, la France et l'Europe occidentale ne sont pas en reste en la matière. Voici ce que prévoit l'article 122-1 du Code pénal français : « n'est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes ». Ce qui a permis, par exemple, au multirécidiviste Pierre Bodein, dit « Pierrot le fou », d'être libéré à plusieurs reprises grâce aux avis de psychologues irresponsables pour, chaque fois, commettre des crimes de plus en plus abjects, concluant son palmarès par les viols et les meurtres de Jeanne-Marie Kegelin, 10 ans, Julie Scharsch, 14 ans, et Hedwige Vallée, 38 ans.

guillotine.jpgEn fait, le concept d'irresponsabilité pénale est absolument insupportable. En quoi un cinglé, un drogué ou un mineur serait-il moins responsable qu'un autre de l'acte horrible qu'il a commis ? Pourquoi alors l'automobiliste ivre est-il lui responsable mais pas le tueur pédophile compulsif et névrosé ? Le « trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli le discernement ou le contrôle des actes » prime-t-il sur la souffrance des victimes et de leurs familles ? Le plus important est-il de soigner la bête malfaisante et détraquée ou de la mettre hors d'état de nuire et de lui appliquer une juste sanction ?

Si ça les amuse, que psychologues et psychiatres triturent le cerveau des givrés emprisonnés, mais qu'on ne leur donne pas le pouvoir de les soustraire à la justice voire de les faire libérer. Enfin, fous ou pas, une civilisation digne de ce nom doit sans états d'âmes exécuter tous les Breivik et les Bodein pour les atrocités qu'ils ont commises. D'ailleurs, s'ils avaient su qu'ils risquaient la peine de mort, même aux confins de leur folie, qui sait s'ils auraient perpétrés leurs crimes odieux ?

source

 

21 mai 2010

Peine de mort pour les tueurs de flics : un communiqué du Parti de la France

Meurtre d' une policière municipale dans le Val de Marne : voilà où mène le laxisme judiciaire !

Jeudi 20 mai, suite à une course-poursuite avec des malfaiteurs qui ont forcé un barrage de police, une policière municipale de Villiers-sur-Marne a été assassinée au fusil d'assaut, son collègue blessé ainsi que plusieurs automobilistes.

L'extrême violence de ces criminels est à mettre en parallèle avec les sanctions judiciaires dérisoires qu'ils encourent, sans compter la mansuétude systématique de magistrats irresponsables qui leur trouvent toujours des excuses pour atténuer leurs peines ou accélérer leur libération. A cela il faut ajouter le lynchage judiciaire et médiatique des policiers ou gendarmes soupçonnés d'avoir commis une bavure dès lors qu'ils font usage de leur arme, même en état de légitime défense !

guillotine.jpgLe Parti de la France est favorable à l'application stricte de la peine de mort pour les "tueurs de flics". La peine capitale doit être rétablie afin que la peur change de camp et que la société soit débarrassée des criminels les plus dangereux.

www.parti-de-la-france.fr

 

02 octobre 2009

Laxisme judiciaire : communiqué du Parti de la France


balance de la justice.jpgL'assassinat ignoble d'une joggeuse en Seine-et-Marne par un violeur récidiviste - condamné à 11 ans de prison en 2002 pour rapt et viol d'une fillette et libéré à peine 6 ans plus tard  est symptomatique du dysfonctionnement de la justice qui ne protège plus la société des criminels.
Plutôt que de rivaliser d'ingéniosité en concevant des radars de plus en plus performants pour racketter les automobilistes pour qui la répression est implacable, Le Parti de la France préconise de favoriser le développement de services psychiatriques spécialisés en milieu carcéral et d'investir dans la création de 100 000 places de prison supplémentaires afin d'écarter de la société délinquants et criminels qui doivent être condamnés à des peines plus lourdes et effectuer réellement leur détention sans remise de peine, en particulier pour les délinquants sexuels.

Alors même que le gouvernement veut atténuer la loi pénitentiaire en ayant recours notamment aux aménagements de peine (semi-liberté, bracelet électronique, travail d'intérêt général...), ces derniers étant présentés comme une solution au désengorgement des prisons, Le Parti de la France dénonce ce projet de loi consistant, en réalité, à laisser les criminels et délinquants en liberté et, cela, avec le danger, au moins potentiel, de la récidive.

Le Parti de la France rappelle qu'il est également favorable au rétablissement de la peine de mort pour les meurtriers.

01 octobre 2009

Marie-Christine Hodeau : victime du laxisme judiciaire

h-3-1411516-1233739051.jpg" Entre l' inconvénient de se répéter et celui de n' être pas entendu, il n' y a pas à balancer " : cette phrase de Louis de Bonald - prise pour épigraphe par le " Choc du Mois " - nous est venue à l' esprit lorsque les circonstances de l'  assassinat de la malheureuse Marie-Christine Hodeau ont été rendues publiques.

Comme nous avons, hélas, été amenés sur ce blog à le dénoncer, le laxisme de notre " justice ", plombée par l' angélisme, vient de faire une nouvelle victime : une femme agressée, enlevée, ligotée à un arbre, qui malgré son courage finira par être étranglée par son bourreau et dont le corps sans vie, dénudé, sera retrouvé dissimulé sous des branchages. Marie-Christine Hodeau a eu le malheur de croiser la route de Manuel Da Cruz : un nuisible condamné seulement à onze ans d' emprisonnement en 2002 pour l' enlèvement et le viol d' une gamine de 13 ans et dont on sait maintenant que, libéré conditionnel au bout de cinq ans, il avait eu le culot - et surtout l' incroyable possibilité - de venir s' installer dans le village même de sa petite victime dont on devine la permanente terreur. Et qu' entendons-nous de ci de là ? Certains évoquent déjà la " pulsion " qui a submergé la brute, en quelque sorte déjà juridiquement excusée. D' autres regrettent que les soins offerts par le contribuable à ce genre de malfaisant soient insuffisants. Dans la caste des magistrats, d' aucuns s' élèvent en défenseurs de leurs collègues "juges d' application des peines" qui ont remis le fauve en liberté...rien ne laissait prévoir la récidive parait-il ! Ose t-on timidement le mot de "castration chimique" que le tollé prend corps : et les droits de l' homme môsieur !

Il faut en finir ! Il faut le dire, le crier et le répéter. Il est plus que temps d' agir contre les pervers de ce type qui doivent être mis hors d' état de nuire et impitoyablement éliminés de notre société, par l' emprisonnement perpétuel effectif ou par la peine de mort :  la peine de mort qui a au moins l' incomparable mérite d' éviter tout risque de récidive. Ce n' est pas être inhumain que de réclamer le retour de la peine de mort pour les violeurs d' enfants ou les massacreurs de faibles; ce qui est inhumain c' est de laisser des pervers et des tueurs agir en toute liberté et leur permettre d' oter la vie à des innocents...et çà, les citoyens ne vont plus le tolérer longtemps encore. 

Marie-Paule Darchicourt

  

    

 

24 mars 2009

Oignies : agressions de personnes âgées

parlement4_6.jpgLundi soir, deux personnes âgées ont été violemment agressées et dépouillées à leur domicile de Oignies (Pas de Calais) par des racailles qui ont en outre incendié totalement leur maison avant de prendre la fuite; les malheureux septuagénaires, hospitalisés à Lens devront être relogés dans l' urgence. Cette lâche agression d' une brutalité inouie survient une semaine après celle de deux octogénaires à Tourcoing (Nord) et semble faire de notre Région une terre d' élection de la pratique du "home jacking" au préjudice de personnes âgées.

Devant la carence de l' Etat en matière de sécurité, notamment de la sécurité des plus faibles de nos compatriotes, on se demande s'il ne faudra pas en venir à la mise sur pied de "rondes citoyennes" de volontaires telles qu' assurées désormais en Italie dans les zones à risque en coopération avec les forces de l' ordre. Il est en outre urgent et indispensable de jeter l' angélisme aux orties et de renforcer l' arsenal juridique réprimant les violences physiques sur personnes âgées et enfants en faisant craindre des condamnations lourdes et incompressibles pouvant aller jusqu' à la peine capitale.

Si l' Etat n' est plus capable d' assurer ordre et sécurité, il faudra bien que les citoyens s' en chargent eux-mêmes. 

Yves Darchicourt